Repaire Collins

Age : 31 Humeur : Ecoeuré par la cruauté humaine.

J'avais pensé en faire un prénom ou une insulte au départ. Ou bien un nom de chien. Mais ça peu aussi être le titre d'un bouquin trouvé par hasard. ( Pourquoi c'est maintenant que j'ai le plus d'idées ? scratch

)

Courage !

J'ai pas trouvé non plus pour le mon a placé... Si ça avait été maintenant j'aurai pu le placer dans ma nouvelle de romance contemporaine... ahhh dommage scratch

Age : 31 Humeur : Ecoeuré par la cruauté humaine.

C'est minuit la fin de ce défis Loreleï. T'as encore un peu de temps. ^^

Je donne ma participation alors cheers

Défi 2 : Insérer la phrase proposée : \"NaNoWriMo !" a écrit:: La nuit s’étirait en longueur, terne et triste. Je zappais de chaine en chaine, m’arrêtais parfois sur des jeux télévisés, prenais des feuilletons en cours de route, juste pour passer le temps. À un moment je me suis arrêtée sur une émission où un auteur était interviewé, il se mit à parler de la façon dont il avait commencé à écrire « Je participais à cette époque à un évènement littéraire, il s’agissait d’écrire un roman de cinquante mille mots durant le mois de novembre….
— Le NaNoWriMo ! m’écriais-je dans le silence de ma chambre, achevant sa phrase.

Age : 31 Humeur : Ecoeuré par la cruauté humaine.

En plus t'as réussie à le placer d'une façon crédible ^^ Chapeau Loreleï !

Bravo les filles ! :tyran:

Je n'ai absolument pas réussit à le caser. D'autant plus qu'hier je n'ai écrit que six mots tellement mes migraines m'importunaient.

Bravo les filles ! :tyran:

Je n'ai absolument pas réussit à le caser. D'autant plus qu'hier je n'ai écrit que six mots tellement mes migraines m'importunaient.

Merci les filles, il faut dire que j'avais commencé une romance contemporaine donc ça été "facile" pour le caser. (Oui mon nano est un ensemble de nouvelle What a Face

)

Courage avec tes migraines Maderose !

Moi je vis, parle, respire, mange écriture et je sais pas si je vais tenir longtemps. Aliane toi tu ne le sais pas encore mais je participe à un Speed Writing (qui porte bien son nom...) pour l'édition Lune Ecarlate. Comme mon Nano avait pour thème les ATs cette année je l'ai casé dedans. Mais c'est vraiment chaud... Je dois faire près de 25 milles mots (150.000 signes) pour jeudi prochain...

Enfin au moins ça me fait écrire et bien avancer, mais comme j'ai un anniv demain (pas là de 10h à 18h... et cours lundi de 8h15 a 18h45 avec un partiel ça promet d'être tendu...)

Bon courage, Loreleï parce que ça risque d'être très très chaud.
T'en es à combien de mots pour le AT de Lune Écarlate, là ?

A un peu plus de 5.000 soit 30.000 signes. Mais je me suis attachée à mon histoire alors même si je ne peux pas l'envoyer dans les temps, je pense que je la continuerai pour moi. What a Face

Après le soucis c'est que ça fait 40 pages à écrire et que le l'histoire doit se passer en 24h (c'est le thème) donc j'ai parfois l'impression que j'avance trop vite dans l'intrigue par rapport au nombre de page qu'il me reste à écrire.

Et 1k écrit en 40 mins ce matin. cheers

C'est pas 48 heures ?
Bien ouej ! Moi, je vais m'y mettre. Musique, chocolat chaud, jus d'orange, sablés bretons et j'essaie d'atteindre les 10k avant le write-in de cet après-midi. Courage à moi-même. Repaire Collins - Page 3 3455969132

Si si 48 tu as raison...

10k/day ? Quelle est ta recette ? Hier en m'acharnant j'en ai fait 4.... (et vu ce que je dois produire franchement j'aimerai bien ton astuce...)

Aujourd'hui je dois faire au moins 2h de code et 2h de boulot donc je pourrais commencer que vers 6h en plus.. Mais bon j'ai déjà fait un k ce matin cheers

Et bon courage !!!!!!

Oula non ! Pas 10k par jour ! C'est humainement impossible. Surtout avec la fac. Non, je vais essayer de passer la barre des 10k qui me nargue depuis quelques jours. Il me manque un peu moins de 2k.

Age : 31 Humeur : Ecoeuré par la cruauté humaine.

Après midi à thèmes
Thème 1 : Curiosité.

Citation :: -Dis Allan, t'as une famille ?
-On se connais depuis cinq ans et c'est que maintenant que tu me demande ?
-C'est la première fois qu'on se retrouve coincé dans une cave, dit elle comme une évidence.
-J'ai une famille.

Lucy balança sa tête en arrière et soupira. Elle, elle se souvenais à peine de son père ou du vissage de sa sœur. Ça ne faisait pourtant que sept ans qu'elle les avait quitté, mais tout commençait à s’estomper dans son esprit. Remplacé par d'autres souvenirs. Ça ne lui manquait pas vraiment. Même si elle était resté pour eux plutôt que de fuir le recrutement, elle ne s'était jamais vraiment lié avec eux. Ils étaient peut être mort aujourd'hui.

-Et toi ? T'en a une de famille ?
-Je sais pas, elle pris quelques seconde pour réfléchir, pour mettre de l'ordre dans ses pensés. Je sais que j'en ais une, mais je commence à oublier. J'crois que ce serait mieux pour moi si j'en avais pas. J'veux dire, j'les aimais sûrement hein, mais je suis plus comme avant, j'ai changé. J'crois pas que la nouvelle moi trouverais sa place la bas. Et j'en ai pas tellement envie. Alors je suppose que non, j'ai pas vraiment de famille. Juste toi.

Allan baissa les yeux. Lucy n'avait jamais était du genre très démonstrative niveau affection, mais il aurait crus qu'elle se serait accroché au moins a ses parents. Que si elle désirait si ardemment partir, c'était pour aller les retrouver. Pour quoi d'autre sinon ?

Alors, il la regarda un moment, elle n'avait pas spécialement l'air triste par sa propre constatation, c'était plutôt comme si ça la laissait indifférente.

-Tu fera quoi quand tu sera partie ? J'imagine que du coup, tu va pas te précipité dans ta foret nordique pour fêter Noël avec eux.
-Depuis quand t'es si curieux ? J'croyait que tu voulais pas en entendre parler ?
-Bah, t'as dis que tu partirais pas sans moi, j'ai seulement envie de connaître le programme.

Lucy était sur le cul. Ça faisait des mois qu'elle faisait tout et n'importe quoi pour le décider à partir et il avait toujours refuser ne serait ce que d'en parler. Ça le rendez même plutôt agressif quand elle insistait. Elle n'avait jamais réellement cherchait à savoir pourquoi d'ailleurs, mais s'il était assez curieux pour seulement envisager d'en parler sérieusement avec elle, elle n'allait certainement pas laisser passer cette chance.

Thème CURIOSITE a écrit:: Le garçon fut sortit de ses mornes pensées par Lili se rasseyant à côté de lui. Elle avait entre ses mains un bien plus gros volume, dont la couverture était filée d'or. Elle l'ouvrit avec difficulté sur une page au hasard. Le garçon aux cheveux paille se pencha par dessus l'épaule de Lili pour observer les cartes colorées parsemant le manuscrit. Il n'avait encore jamais regardé avec plus de curiosité que ça ce type de livre. Il avait toujours pensé que cela était rempli de mots qu'il ne comprendrait pas. En voyant les centaines de pages imprimées de cartes du monde, il fut étrangement intrigué. Il prit d'ailleurs le tome des mains de Lili qui le regarda interloquée.
- Qu'est-ce que c'est ? demanda le garçon en tournant les pages.
- On appelle ça un atlas. Il y a toutes les cartes de tous les continents. Présentés de différentes manières... le climat, les reliefs etc. C'est très intéressant.
S'arrêtant sur une page où tous les continents de l'avant guerre étaient présentés, Billy pointa la terre orientale. Les noms des pays étaient inscrits dans leur langue nationale, des langues que Billy ne comprenait pas.
- C'est la terre perdue ? De l'autre côté de l'océan ? demanda-t-il.
- Oui. Ici, il y a l'Europe, l'Asie et l'Océanie. Nous, nous sommes en Amérique. Amérique du Nord, plus précisément.
Lili indiqua à Billy les différents endroits qu'elle citait. Le garçon regarda avec beaucoup d'intérêt les pages suivantes. Posant encore mille autres questions à son amie qui se fit un plaisir d'y répondre. Ils parcoururent ainsi le Brésil, le Pérou, l'Argentine, l'Antarctique, La Chine et l'Australie, la France et Israël.

Thème LECON a écrit:: L'enfant sursauta en entendant le bois grincé au dessus de sa tête. Le visage souriant de malveillance de cet homme aux traits fins, réguliers, beaux même. Elle osa lever son regard velouté sur lui. Il sourit de plus belle.
- Jasmina... comment vas-tu aujourd'hui ?
La captive ne répondit pas et regarda avec beaucoup de frayeur l'homme qui se pencha pour attraper son bras. Doté d'une force impressionnante, il porta d'une seule main la silhouette frêle de Jasmina pour la mettre debout, à côté de lui, sur le plancher de la salle de séjour de la petite mansarde. Le corps squelettique de la demoiselle tremblait, elle n'était vêtue que d'une jupe patineuse courte, ne couvrant que la moitié de ses cuisses et d'une brassière pour dissimulé sa poitrine naissante. Ses longs cheveux lui tombaient raide au creux des reins.
- As-tu bien compris la leçon, Jasmina ?
La demoiselle hocha la tête doucement, n'osant pas regarder son bourreau.
- Je n'ai pas entendu, Jasmina. As-tu compris la leçon ? répéta-t-il en obligeant la jeune fille à relever la tête vers lui.
- Ou... oui, monsieur.
- Bien... murmura-t-il en passant sa main sur le visage angélique de la petite fille.

C'est ultra glauque, je sais.

Age : 31 Humeur : Ecoeuré par la cruauté humaine.

Leçon a écrit:: Ça ne devait être qu'un entraînement. Une leçon de corps à corps comme une autre. Pourtant le cadavre de Kate gisait la, sur le sol à ses pieds. Lucy était tétanisé. Elle ne parvenait pas a décrocher son regard du corps sans vie de son amie d'enfance. A quel moment cela s'était il passé ? Elle avait seulement voulu se défaire de son emprise. Elle avait seulement repoussé Kate. Il y avait eu la chute, puis un craquement, et maintenant cette flaque de sang qui se cessé de s'étendre. Et le silence. Un silence insupportable.
La vingtaine de recrus présente dans la salle la regardait elle, d'un air choqué, écœuré, horrifié. Mais aucuns de disaient mot. Lucy venait sous leurs yeux de tuer sa meilleure amie, sa seule allié ici et aucun ne parlaient. Il n'y avait pas de mot pour ça.

-Ok, la leçon est terminé ! Tout le monde dehors ! Que chacun regagne ses cartiers, et sans traiter !

La voix de son nouvel instructeur l'a sortie de ses pensé. Pourtant quand elle releva les yeux, tout le monde était déjà partie. Ne resté plus qu'elle, le corps inanimé de Kate et l'homme qui avait parlé. Elle l'avait déjà vu avant, dans le van qui l'avait conduit au Centre, avec Kate. Quand elle avait du quitter sa maison, son villages, tout ses reperds. Pourquoi fallait il qu'il soit toujours la au pire moment de sa vie ?!
Il avait recouvert le corps. Lucy ne s'en était même pas aperçu. C'était comme si tout aller en accélérer, tout sauf elle. Il posa alors une main sur son épaule, un peu maladroitement.

-Hey ? Ça va aller ? il avait l'air de lui demander ça plus par obligation que par réel intérêt. Tu sais, t'en tuera d'autres, c'est pas plus mal que t'ai appris cette leçon maintenant plutôt que sur le terrain.

Lucy était choqué. Elle venais de tuer par accident son amie, et il l'a félicité presque de son premier meurtre. Elle ne savait quoi répondre, son regard oscillé entre la flaque de sang à ses pieds et le vissage du Sergent Allan Fursey.

-Je … Allez vous faire foutre avec vos leçons.

Elle tourna les talons, et quitta de gymnase, laissant une traîné de sang dans son sillage. Une leçon ? Et que devait elle retenir ?

Maderose, ma curiosité est piqué, c'est quoi la suite ?

La réponse le 6 décembre ? ^^
Non, c'est loin d'être joyeux, hein.
Elle est prostituée, en fait... et elle voulait pas faire certaines choses et après un traitement particulier (battue, privée de nourriture etc...), elle a lâché prise.

Thème PROPRETE (glauque et c'est la suite du passage d'avant, moins quelques phrases et quelques années) a écrit:: Quelques heures plus tard, Jasmina se trouvait dans son habituelle cave, recroquevillée sur elle-même. Allongée sur le côté. Une douleur atroce lui martelait le bas ventre et du sang jonchait la quasi-totalité du sol de son repère. Des perles brûlantes quittaient ses yeux fermés pour se mélangé avec le liquide rouge. Ses cheveux poisseux collaient à son visage. Elle se sentait abandonnée. Elle ne souhaitait rien d'autre que la mort.

Age : 31 Humeur : Ecoeuré par la cruauté humaine.

Propreté / pas de ma faute, je suis pas responssable de mes personnages. a écrit:: Lucy souffla bruyamment. Ça faisait maintenant plus de douze heures qu'ils était enfermé dans la cave. Le jour s'était levé et les rayons du soleil tapaient contre l'unique petite fenêtre en hauteur muni de barreaux. Son corps entier la faisait souffrir, l'humidité ambiance, l'odeur de pourriture des lieux, la chaleur accablante, le corps d'Allan collé au sien, le sang et la sueur se mélangeant sur sa peau.
Elle retira sa veste, elle avait chaud, beaucoup trop chaud pour un moi de novembre. Et elle se sentait sale.

- Je rêve d'une douche. Ou de me baigner entièrement nue dans l'océan. Je pourrais même nager dans la neige. Est ce qu'il neige en novembre ? C'est bien de la neige sur le mur non ?
- Non, c'est des champignons sur le mur. Mais va y, fais toi plaisir.
- Ils ont vraiment bien arrangé cette cuisine, quoi que, c'est peut être une salle de bain en fait. Est ce qu'on est dans une cabine de douche ? Je vois de l'eau sur les mur mais pas de savon ou de serviette...
- On est dans une cave. Mais effectivement, c'est pas mal comme cave, très propre, super agréable, lança t-il, ironique.

Lucy avait de toute évidence quelques séquelle de l'accident, ou peut être du coup de crosse qu'elle avait prit. Parce que non, il ne faisait pas chaud, la température devait à peine dépasser les 6°. A moins que ce soit la moisissure. Mais Allan était bien trop épuiser pour lui faire remarquer. A vrai dire une bombe aurait pu exploser qu'il n'aurait sûrement pas bougé le petit doigt. A vrai dire faire abstraction de son environnement lui prenait déjà toute son attention.

- C'est dommage, se plaignit elle, j'adore quand on fait l'amour sous la douche. C'est tout propre et tu sens toujours bon, la t'empeste vraiment. On devrait faire l'amour. Ça fait combien de temps ?
- Une semaine, dit il dépité.
- Mais non ! Je parle, je veux dire, c'était quand la dernière fois que je me suis lavé ? Est ce qu'il y des douches dans ma maison ? Allan, je crois vraiment que la neige sur le mur viens de bouger. Tu trouve pas qu'elle brille ?
- J'en sais rien, c'est tellement dégueulasse ici que c'est sûrement un genre de … truc qui rampe.

Age : 31 Humeur : Ecoeuré par la cruauté humaine.

Rompre ( oui je sais, j'ai fais facile ) a écrit:: Ils entendirent des bruits de pas, quelqu'un venait vers eux. A en juger par le craquement du plancher, la personne devait être seule et assez imposante. Dans l'état ou était sa coéquipière, elle ne pourrait sûrement pas luter. C'est à peine s'il l'imaginait pouvoir se relever. Il allait devoir se sortir de ce pétrin sans son aide.
Une clef glissa dans la serrure et Allan se releva aussi prestement qu'il pu. Sa tête tourna un instant mais il pu tout de même se placer derrière la porte avant que l’intrus de l'ouvre. Lucy elle était toujours affalée contre la mur face à l'entré de la cave, et, elle lui sourit, tout simplement. Elle devait encore halluciner. Mais ça donna assez de temps à Allan pour rompre le cou de l'homme qui tomba à terre sans avoir compris ce qui se passait.

-Mon sourire l'a tué … c'est une première...
-Mais oui Lucy, aller, on se lève, il joignit le geste à la parole et l’attrapa sous les bras pour la remettre sur pieds. Il valait mieux pour eux qu'ils décampe avant que quelqu'un d'autre arrive.

Thème ROMPRE a écrit:: Alice lança un regard au fameux monsieur Garcia qui n'avait pas encore dit un mot. Il s'agissait d'un homme au crâne rasé de près luisant sous les néons du bureau. Il était vêtu d'un costume banal acheté dans un grand magasin. Il ne différait en rien de tous les autres clients que l'agence avait eu. Alice croisa son regard bleu, presque blanc. Il ne la quitta pas des yeux pendant une bonne minute avant de se lever et de se tourner vers le supérieur d'Alice.
- J'ai toute confiance en votre équipe, monsieur, mais j'ai bien peur de devoir rompre le contrat que je vous avais proposé. Il est flagrant que cette jeune femme n'a pas les capacités requises pour la mission dont je vous incombe. Si elle avait été digne de celle-ci, elle serait déjà en train de massacrer mon associé pour sa misogynie.
- On m'a demandé de ne plus massacrer les clients. Ça reviendrait trop cher, apparemment, lâcha Alice.

Age : 31 Humeur : Ecoeuré par la cruauté humaine.

Hypothèse, suite direct de Propreté a écrit:: Lucy forma un « O » avec sa bouche, franchement très impressionné par la capacité de déduction d'Allan. Elle ne l'aurait jamais deviné. Surtout dans l'état ou elle se trouvait. Elle se demanda un instant si Allan avait d'autre qualité, hormis la capacité à étudier une pièce et en tirer des déductions aussi intelligentes. Mais elle abandonna bien vite son interrogation, quelque chose avait capté son intention. Sur le sol, au milieu d'une plaque d'eau, se trouvait un petit insecte lutant pour sa survie. Il allait sûrement se noyer, épuisé par tout les effort qu'il faisait pour sortir de l'eau trop profonde pour lui. Son envie de nager dans l'océan lui passa d'un coup. Si elle mourrait ? Si Allan mourait ? Est ce que quelqu'un les chercherait ? Est ce que quelqu'un se souviendrait d'eux ? N'étaient il pas eux aussi que de simple insecte au yeux du Centre, de petites bêtes dont on pouvait facilement se passer ? Et si c'était la le dernier acte de leurs vie ? Qu'ils étaient coincé dans cette cave aux air de salle de bain jusqu'à leur fin ?

- Des chips au fromage ! Cria t'elle d'un coup, sans prévenir.
- De quoi tu parle cette fois ?
- Des chips au fromage, j'aurais tellement voulu en manger avant de mourir.

Elle en aurait pleuré si elle avait pu.
- Et toi Allan ? T'aurais envie de quoi avant de mourir, mais attention hein, répond sérieusement !
- Et bien … Sûrement de toi. Dans l'hypothèse bien sur ou on risquerait vraiment nos vie.
- Mais on risque vraiment nos vie Allan, on est dans une cave de bain depuis plus de douze jours !
- En fait, ça fait douze heures, mais au tu t'es pas trompé de beaucoup.

Sans même prévenir, ni écouter la réponse d'Allan, Lucy retira son T-Shirt et le jeta a travers la pièce avec ce qui devait sûrement être à la base un effet de style, mais vu l'étroitesse des lieu, se releva assez ridicule. Elle planta son regard dans celui remplis d'amusement de son coéquipier et lui balança avec détermination : « Allan Fursey, je vais accéder à ta dernière volonté ! Au diable les chips au fromage ! »

Thème HYPOTHÈSE a écrit:: - Vous êtes sérieusement en train d'essayer de nous faire croire que c'était cette femme, l'Infiltrée de Kaero ? demanda le brun d'un ton riant.
- Ca vous parait si improbable que ça ? Vous savez, dans ce type de réseau, les femmes sont bien plus facilement acceptées. Elles font office de jouets, de... décorations. Donc on parle beaucoup devant elles, sans avoir peur qu'elles soient de l'autre camp. C'est un monde très misogyne. Vous avez surement dû être dealer dans une autre vie, lâcha Alice, toujours aussi impassible.
Elle regardait le beau brun dans les yeux, ce qui le rendait excessivement mal à l'aise. Laissant le couple à ce duel de regard, le chauve rondouillard s'adressa au supérieur d'Alice.
- Dans l'hypothèse où ce que vous nous racontez soit vrai, comment pourrais-je avoir la garantie que cette jeune femme soit digne de confiance. Vous savez que j'ai besoin d'un maximum de discrétion dans ce cas.
- Je peux vous garantir qu'Alice est la personne en qui j'ai le plus confiance sur cette terre. Et, si vous trouvez que cela est nécessaire, vous pouvez toujours la faire seconder par l'un de vos hommes.

Thème STRIP-TEASE a écrit:: - Tu t'es bien amusée ?
Alice se retourna vivement vers la voix derrière elle, pointant son arme. Dans l'obscurité, elle aperçut la carrure de Tyron. Elle soupira et rangea son revolver.
- Putain, mais qu'est-ce que tu fous là ! On n'avait bien pris deux chambres séparées, non ?
Alice alluma le plafonnier et le visage fermé de son partenaire lui apparut plus clairement. Elle le regarda, un sourcil levé, mains sur les hanches.
- Tu t'es fait écraser par un semi-remorque ou quoi ? demanda la jeune femme en voyant son état pitoyable.
- Juste un petit con... répondit-il en esquissant un sourire.
Le jeune homme tenta de se mettre debout, une grimace de douleur sur son visage. Il porta sa main à son côté, et se rapprocha du centre de la pièce pour être à la lumière complète. Alice s'avança vers lui d'un pas nonchalant.
- Juste un petit con qui t'a mis la raclé de ta vie. T'es prêt pour Halloween, dans cet état. Il s'est acharné sur ton visage.
Elle prit le menton de Tyron entre ses doigts et le fit pivoter de droite à gauche. Elle mit sa main sur son torse et le poussa pour qu'il s'assoit sur le lit.
- Bouge pas.
La jeune femme entra dans la salle de bains et en ressortit quelques secondes plus tard munie de la trousse de soin. Elle positionna ses genoux de chaque côté de Tyron, sur le lit, s’asseyant à califourchon sur lui. Ce dernier tendit ses bras derrière lui et s'y appuya pour ne pas finir allongé. Alice appliqua de l'alcool sur un coton qu'elle frotta sur les plaies et coupures jalonnant le visage de Tyron.
- Putain, il t'a pas loupé.
- Tu l'as pas vu.
Alice leva les yeux au ciel, tout en continuant de désinfecter ses plaies. Lorsqu'elle s'attaqua à la coupure sur son arcade sourcilière, Tyron émis un gémissement de douleur.
- Fallait pas se prendre pour un homme quand on en est pas un, lâcha-t-elle, continuant ses soins.
Tyron exprima une mimique de moquerie mêlée de susceptibilité masculine. Il observa le visage neutre d'Alice qui s'affairait à nettoyer ses plaies. Il n'osa pas lui dire que le type avec lequel il s'était battu était le même avec lequel elle avait dansé toute la nuit.
Alice gigota sur les genoux de Tyron qui reculait sa tête pour empêcher le coton de rentrer en contact avec sa peau.
- T'as fini de faire le bébé, oui. C'est qu'un peu d'alcool, tu vas pas en mourir.
Alice avait appliqué un pansement pour protéger la coupure sur le sourcil et s'attaquait maintenant à la lèvre ouverte. Bien ouverte, même. Elle laissa échapper un rire quand Tyron fit une grimace.
- T'es sûr que c'est un coup de poing qui t'a ouvert la lèvre ? On dirait plutôt une morsure... tu n'aurais pas fait des cochonneries avec ce type ?
Elle éclata de rire devant le regard dépité de Tyron. Pourtant, un rictus apparut sur ses lèvres, ce qui stoppa le rire d'Alice. Le jeune homme se redressa et posa ses mains glaciales sur les cuisses d'Alice. Soulevant sa jupe patineuse. Elle lâcha immédiatement ce qu'elle avait dans les mains et attrapa les bras de Tyron. Elle le regarda de haut, bouche légèrement ouverte, sourire méprisant aux lèvres.
- Je peux savoir où tu vas, là ?
- Le mec que j'ai tabassé, c'est celui qui t'as peloté... tu sais, celui que t'as baffé.
- Et donc ?
- Et j'attendais un peu plus de reconnaissance de ta part.
- De la reconnaissance ? Alors que ce type t'a massacré ? Ça va pas, non.
Alice esquissa le geste pour descendre du lit mais Tyron la retint par la taille et roula sur le lit, elle sous lui. Dans la foulée, il arracha les boutons de sa chemise. Il se plaqua contre Alice qui posa sa main sur son torse. Elle leva le regard sur son visage. Elle alla répliquer quelque chose, mais les lèvres de Tyron l'en empêchèrent.
Sans s'en rendre compte, toute la volonté qu'elle mit à le repousser ne servit à rien. Ses mains finirent rapidement dans ses cheveux, puis descendirent sur ses épaules pour le débarrasser de sa chemise. Tyron passa ses doigts dans le dos de la jeune femme à sa merci et défit un à un les lacets du corset de sa robe qu'il envoya balader dans la pièce, oubliant de respirer. Les doigts glacés d'Alice s'aventurèrent sur les muscles déjà luisants de Tyron et s’agrippèrent à sa ceinture, qui ne fut bientôt plus qu'un lointain souvenir pour les deux amants ; ainsi que tout autre obstacle, physique ou raisonnable.

Age : 31 Humeur : Ecoeuré par la cruauté humaine.

Stip-tease a écrit:: Lucy elle n'avait pas vraiment ce genre de préoccupation à l'évidence, puisqu'elle était déjà en train de virer ses chaussures.

- Bouge toi Fursey, c'est ta dernière volonté, alors mets y un peu du tien !

Que pouvait il répondre à ça ? Absolument rien. Après tout, ils allaient peut être bel et bien mourir aujourd'hui, alors autant en profiter non ? Et puis, Lucy avait beau être stone à cause de sa probable commotion cérébral, ça ne l’empêchait pas d'être désirable. Elle abordait ce sourire qu'elle avait les bon jours, ceux ou ils ne travaillaient pas et ou ils pouvaient passer tout leur temps au lit. Ça n'arrivais pas souvent, la plupart du temps, elle était trop préoccupé, constamment sur ses garde pour vraiment lâcher prise et profiter du moment. Il n'aimait pas Lucy, du moins, il n'en était pas amoureux, mais il se serait damné pour un de ces sourire. Ou pour la voir, comme la, se déshabiller devant lui sans aucun gène, le fixant intensément. Son pantalon glissant sur ses fines hanches, ses propres doigts caressant volontairement ses cuisses. Il commençait à sérieusement douté de l'état de santé de sa partenaire, elle était peut être plus lucide qu'elle le montrait après tout. Une personne ne devrais pas être capable d'autant de souplesse. Elle se pencha exagérément pour retirer complètement son vêtement, laissant à Allan tout le loisir de détailler sa poitrine généreuse, de demandant qu'à être libéré de son sous-vêtement. Lucy l'allumait clairement. Et puis quelle idée de mettre une lingerie pareil pour partir en mission ? Elle se redressa, suave, attendant une réaction de sa part peut être. Réaction qui ne se fit pas attendre quand elle détacha son soutient gorge pour le laisser glisser les long de ses bras et le jeter obligeamment au sol.

» Repaire Bottero
» Repaire Rowling
» Repaire Colfer
» Repaire Hobb
» Repaire Austen

Repaire Collins

Repaire Collins

Sujets similaires

Sujets similaires