Repaire Collins

Trois mots : Bricolage, magazine et tirelire (+ le thème berceuse du coup) a écrit:: Jonah soupira et regarda le berceau bleu devant lui, au dessus duquel était suspendu un carillon en bois sculpté.
- C'est une pouponnière. On y mettait les bébés à la naissance. Et le truc en bois, c'est un carillon. Celui-là semble être du bricolage vite fait.
- Ca sert à quoi un carillon ? demanda Lili une nouvelle fois.
- À faire de la musique, une berceuse pour le bébé. Bon, Lili, on a pas le temps, là.
Jonah prit le bras de Lili et la força à détacher ses yeux du lit d'enfant. Le jeune homme était vraiment dans une situation qui lui déplaisait. La dernière fois qu'il était entré dans ce type de bâtiment, il en était ressorti plus changé que jamais. Il avait dû changer toute sa vie, et il était pourtant si jeune. Casser sa tirelire, prendre des responsabilités, apprendre des choses. Comme il ne savait pas lire, il se renseignait en regardant les images des magazines.

Pour le thème Berceuse

Citation :: Je remontais la petite berceuse, qui dans un cliquetis repris sa mélodie puis sortis dans la plus grande prudence, en évitant de justesse les jouets restés au sol, pour ne pas réveiller les garçons endormis. Voir cette chambre décorée sur le thème de l'espace qui fascinait tant les jumeaux me fit soudain regretter mon enfance perdue.

Champagne - Survivant - Inquiet a écrit:: Je ne sais pas pourquoi, mais ce soir là mon père et Sonia voulurent sabrer le champagne, comme si c’était pour eux une manière de fêter le fait que j’ai raté mon suicide. Que je sois une survivante. Mais je ne partageais pas leur joie, toute inquiète que j’étais de ne pas avoir de nouvelle de Lui.

Trois mots (champagne, inquiet, survivant) a écrit:: Le père de famille embrassa le haut du crâne de sa fille. Prenant quelques mètres de distance avec les trois autres garçons, il prit un peut de temps tranquille avec sa fille. Il était inquiet de ces questions qu'elle posait de plus en plus, sur la vie à l'intérieur de la société, de son fonctionnement.
- Lili, tu sais que si ta mère biologique t'a donné aux Marie-Sue...
- Je sais, papa. Ce n'est pas de sa faute. Elle n'a pas eu le choix. Et puis, mon père ne doit pas être au courant que j'existe donc... ils n'y sont pour rien. Je sais.
Alexandre s'arrêta et prit sa fille dans ses bras. Ils restèrent un moment à s'enlacer et ce fut Roman qui les sortit de leur étreinte en hurlant eurêka.
- Sortez le Champagne, j'ai trouvé l'entrée !
- Sauf que la porte est fermée, du con !
- Jonah ! Ton langage, le gronda Lili.
- Billy ? Met un coup de pied dans la porte, déclara Alexandre.
Le jeune basané s'exécuta et la porte vola en éclat. Il était sûr que sa force était la preuve d'un gène survivant chez les Zadigh.

Cataclysme a écrit:: Son absence avait provoqué en moi un cataclysme sans précédent. J’appelais encore et encore, pourquoi ne répondait-il pas ? Qu’avais-je bien pus faire pour qu’il se détourne ainsi de moi ? Je devenais un torrent de larme, et le mal, si brutal, secoua mon corps.

Age : 31 Humeur : Ecoeuré par la cruauté humaine.

Alleluia, torrent et steak ! a écrit:: - Alléluia ! s'exclama son père en s'agenouillant près du torrent. Il soupira de soulagement, plongea ses mains dans l'eau en en but quelque gorgée. Il ne manque plus qu'un bon steak pour que tout soit parfait !

Thème Cataclysme a écrit:: Lucy s'approcha à petits pas, le courant était vraiment rapide et elle n'était pas très rassurer. Sa mère disait toujours que c'était dans ce genre de situation que se passait les cataclysme les plus tragique. Elle ne savait pas trop ce que voulait dire cataclysme, mais elle comprenais le mot tragique. Et elle n'avait certainement pas envie d'être emporté par l'eau et de mourir.

Les mots (Alléluia, Steak et Torrent) a écrit:: Les deux jeunes étudiants d'Oxford regardèrent les conversations multiples des membres. Lolita leva un sourcils devant les phrases qu'ils employaient. Les mots qu'ils employaient. Devon était tout aussi perplexe.
- Il est en français, ton forum, abruti ! T'as de la chance que j'ai quelques bases. Fait voir. Alors... "Lucy mange un steak de mouton."
- C'est quoi ce truc...
- "C'est possible de faire une brioche dans un torrent ? Non ?"
- Okay, laisse tomber. J'ai du me tromper, dit Devon, près à fermer la page.
- Attends ! Là... " Alléluia, j'ai trouvé une réplique des Manuscrits d'Encre sur Ebay !" C'est ça ? Les Manuscrits d'Encre ? demanda Lolita au jeune homme.

Y a un début de référence aux NaNoCompanions, je reposterais le passage complet (a)

Thème CATACLYSME a écrit:: Lolita faisait les cent pas, sans quitter du regard le manuscrit posé ouvert sur la table de la bibliothèque déserte en cette fin de nuit. Tous les derniers évènements la rendait vraiment très nerveuse, elle qui n'aimait pas que son emploi du temps soit mis sans dessus-dessous. D'habitude, la jolie rousse ne montrait jamais son angoisse, ses névroses, mais là, elle ne pouvait pas faire autrement. Toute cette histoire allait mener à un cataclysme incroyable, elle en était certaine. De plus, voir Devon aussi calme la rendait inquiète pour deux. Elle ne comprenait pas comment le jeune étudiant pouvait rester aussi impassible devant ce qui était en train de se passer. Il était impossible que cela soit vrai, c'était juste une grosse blague.

Références au NaNoCompagnions (je fais pas dans le subtil, je sais) a écrit:: - J'ai trouvé un forum où ils parlent d'une malédiction à propos de deux manuscrits vierges qui possèderaient le pouvoir de tout contrôler. N'importe quoi.
- Ils ont une chatbox. Connecte-toi, demanda la rousse en s'asseyant à côté de Devon, repositionnant l'ordinateur face à eux.
Les deux jeunes étudiants d'Oxford regardèrent les conversations multiples des membres. Lolita leva un sourcil devant les phrases qu'ils employaient. Les mots qu'ils employaient. Devon était tout aussi perplexe.
- Il est en français, ton forum, abruti ! T'as de la chance que j'ai quelques bases. Fait voir. Alors... "Lucy mange un steak de mouton."
- C'est quoi ce truc...
- "C'est possible de faire une brioche dans un torrent ? Non ?"
- Ok, laisse tomber. J'ai dû me tromper, dit Devon, près à fermer la page.
- Attends ! Là... " Alléluia, j'ai trouvé une réplique des Manuscrits d'Encre sur Ebay !" C'est ça ? Les Manuscrits d'Encre ? demanda Lolita au jeune homme.
- Qu'est-ce que j'en sais... j'avais juste vu que ça parlait de manuscrits maudits. Ce qui est un peu notre situation. Et je ne parle pas assez bien français pour tout traduire.
Lolita lança un regard méprisant à l'oxfordien avant de se concentrer à nouveau sur l'écran où de nouveaux messages étaient apparus. Elle les lu rapidement jusqu'à ce qu'elle remarque que beaucoup avait souhaité le bonjour au compte que Devon avait connecté. Sous le regard las du garçon, elle commença à taper du meilleur français qu'elle put. Devon regarda par-dessus son épaule.
- Tu leur demandes pour les manuscrits ?
- Oui, pousse-toi, tu me gênes.
Devon s'adossa à son siège et regarda Lolita prendre les choses en main. Cette jeune femme commençait franchement à l'énerver. Il détestait être mis à l'écart comme ça. Quand c'était lui qui le décidait, ça allait, mais quand c'était quelqu'un d'autre... ça l'agaçait. Elle l'agaçait.
- Apparemment, plusieurs personnes connaissent la légende.
Lolita regarda sur le côté de l'écran les pseudos multicolores. Aliane, Jin, Deniel, Aliane, Eyglun, Sumi, Loreleï. Elle n'avait pas la moindre idée de ce que tout cela voulait dire. Ça lui paraissait assez étrange que ce soit leurs prénoms. Pourtant, qui pouvait savoir.
- Ils m'ont donné un lien vers un site internet.
La jeune femme cliqua sur les symboles bleus et atterrit sur une page en anglais. Elle fronça les yeux et déchiffra. Devon n'avait toujours pas bougé à côté d'elle, se balançant sur sa chaise.

Ah j'adore la façon dont tu as intégré les membres de GE :morph:

Je pourrais poursuivre ce soir, j'espère que je pourrais faire quelque chose aussi.

Age : 31 Humeur : Ecoeuré par la cruauté humaine.

Theme Payssage a écrit:: Finalement, le retour avait était plus long que l’allée. En voulant voir les orignal ils s'étaient embourbé, salissant leur vêtement de boue. Lucy était tombé un nombre incalculable de fois sous les rires de son père. Quand ils avait enfin pu rejoindre leur forêt natal, il ressemblaient tout deux bien plus à des épouvantails qu'à des êtres humains. Mais ils s'en moquaient. La semaine qu'ils avaient passé ensemble avait était prodigieuse. Et Lucy était certaine qu'elle se souviendrais tout sa vie de cette escapade. De sa rencontre avec le vieil homme et sa famille dans les marécages. De l'océan et la plage de sable fin. Du marchant dans les bois. Des étendue d'herbe immenses et ces millier d'oiseaux. Autant de paysage magnifique qui la ferait rêver encore longtemps.

Thème Nervosité a écrit:: M'embrassant sur le front, il sortit de la cuisine pour me laisser téléphoner. Je sentais mon coeur battre à tout rompre à la simple pensée de lui parler. J'étais si nerveuse que le téléphone tremblait dans ma main.

Ecorce - Patriote - Vapeur a écrit:: Le repas acheva de me convaincre que j'avais pris la bonne décision en allant chez ma famille, ce fut un vrai délice qui me changea des légumes à vapeur. Je ne me lassais pas du gâteau au chocolat garni d'écorces d'oranges. Même les récits de mon père, son éternel discours sur l'importance d'être patriote, ne me pesait pas.

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Ecorce a écrit:: Elle se traîna avec difficulté contre l'arbre sur lequel Allan était appuyé quelque seconde plus tôt et ferma les yeux. Juste quelque instant, pour récupérer un peu de force allongé la contre l’écorce confortable de l'arbre.

Patriote ( mot ) et nervosité ( thème ) a écrit:: Sûrement, ils avaient l'air vraiment verveux en tout cas. Ils doivent avoir caché pas mal de gosse. Et s'il nous ont pris pour les toubibs du Centre, ça expliquerais pourquoi ils ont pris le risque de nous conduire la ou il les cache. Et en bon patriote qu'ils sont ils nous aurait tué quoi qu'il se passe pour la gosse, histoire que leur secret soit pas révélé.

Age : 31 Humeur : Ecoeuré par la cruauté humaine.

Malchance a écrit:: Lucy soupira, Allan avait l'air de dire que c'était mal. Peut être, mais s'il était né dans une communauté en dehors du Centre, il comprendrais. Après tout, c'était leurs enfants qu'on leurs arrachait pour envoyer à la mort. Le Centré détruisait chaque année des millier de familles, et très peu rentrer chez eux. Du moins, pas ceux qui avait la malchance de finir mercenaire ou dans une des unité envoyé au front comme elle. Seul les ingénieurs, quelques médecins ou les recruteurs avait cette opportunité une fois leurs cinq ans de services obligatoire effectué. Comment Allan aurait pu comprendre les motivation de ces gens vivant reclus dans les campagne, ne cherchant qu'à préserver les leurs ?

Ours, livre, camembert, charme et noeuds a écrit:: Mais sans son sac se trouvait son roman. Et même si ce n'était pas le meilleur livre qu'elle ai lu, au moins, il lui permettait de passer le temps. D'oublier la douleur qui tiraillait son corps et la faim qui formait des nœuds dans son estomac.

Soudain, ils entendirent des bruits de branches cassées, quelque chose arrivait vers eux. Ils relevèrent tout deux la tête, dirigeant leurs regards de concert vers l'entré de la grotte.

- Tu crois que ça pourrait être un ours ? demanda Lucy, pas tellement sur de vouloir connaître la réponse.
- Non, c'est trop léger. Reste ici.

Allan se leva et sorti prudemment de leur cachette, ramassa un bout de bois assez solide et avança en silence vers la source du bruit. Source qu'il se prit de plein fouet quand elle dévala la pente et le percuta. Ce n'était qu'un jeune homme. Environs une vingtaine d'années tout au plus. Allan se releva et l’attrapa par le col, le soulevant du sol, pour le plaquer contre un arbre.

- Qui t'es et qu'est c'que tu fous la ?
- Quoi ? Non … je, je veux pas d'embrouille, balbutia t-il. J'appel Cam, Cam Embert. J'vous jure m'sieur, j'savais pas qu'vous étiez la. L'dite pas à ma mère que j'suis sorti du camp, elle me tuerait.
- C'est bon Allan – Lucy avait finalement décidé de le suivre – relâche le, tu le terrorise.

Le dit Cam ne manqué pas de charme, avec ses cheveux brun en bataille et sa peau bronzé. Il était plutôt grand, athlétique. On voyait tout de suite qu'il passait son temps dehors.

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Rohohoho. J'ai ma trame jusqu'au chapitre 8.
Et 756 mots en trente minutes. Déjà ça de fait pour notre défi de groupe. ^^
La vie est belle quoi !

**Invité**

Citation :: J'appel Cam, Cam Embert

Oh Mon Dieeeeeeeu xD xD xD Un grand et athlétique Cam Embert.

Si internet ne bug pas, je devrais pouvoir être là cette après-midi. Mais dans tous les cas, je peux écrire donc je suis là pour le défi du week-end. ON VAINCRA ! Repaire Collins - Page 5 1841534489

Thème NOUVEAUTE a écrit:: Lotus n'était pas certaine de ses sentiments face à cela. Cette nouveauté dans sa vie qui n'était que faite de solitude.

Thème CLE a écrit:: Elle se racla la gorge assez fort pour se faire entendre de l'homme qui martyrisait de son marteau une pauvre clé aux dimensions incongrues.

mot Clé a écrit:: Deuni observait les clefs de son appartement posées sur la table, près du menu du jour. Elles étaient l’objet de sa visite. Et la seule idée de faire sa demande à Lina le terrifiait.

Thème PRESENT a écrit:: La jeune fille détailla le séduisant homme qui s’avançait au devant d’elle. Il ne devait pas avoir plus de vingt-cinq ans malgré les rides de l’effort balafrant son visage. Ses cheveux blonds tombaient dans sa nuque et sur son front. La ligne de sa mâchoire était tendue, il semblait être un homme soucieux. Lotus laissa dériver son regard sur son torse nu sculpté de muscles, rougeoyant et luisant de sueur à cause de la chaleur présente à quelques centimètres de lui et marqué de part en part de brûlures superficielles, plus ou moins récentes. Et de quelques cicatrices intrigantes. Un pantalon de toile kaki tenait sur ses hanches par une ceinture de cuir et tombait jusqu’à ses chevilles.

Chaussure - meurtre - couverture a écrit:: Aiguisant son regard de faucon, il remarqua entre les lanières de ses escarpins noirs que se dessinait d’une encre de jais sur sa peau ensoleillée une fleur aux multiples pétales. Il était désormais certain qu’elle était l’espoir attendue que tous les devins du culte refusaient de voir ; celle qui empêcherait tous les meurtres, tous les massacres.
L’ermite, tenant la bride de son étalon dans la main, se tourna vers la bête pour poser son pied dans l’étrier. D’un mouvement vif, il se hissa sur la selle, faisant doucement bouger la couverture de laine placée entre le poil du cheval et l’harnachement.

Age : 31 Humeur : Ecoeuré par la cruauté humaine.

Je pensais pas que le forum sur un tel était si compliqué. Arf, j'ai plus internet, on s'est pris un orage très méchant pas beau. J'ai durement atteint les 3000 mots ce matin sinon.
Et je posterais mes passages des défis d'hier quand je pourrais.
Et vous, vous en êtes où ? :-)

15 novembre : 3415 mots écrits. Presque aussi bien que samedi dernier. :wouhou:

Je me suis levée bien tard aujourd'hui, donc je vais me mettre au travail tout de suite pour avancer !

400 petits mots au compteur, quel est la date butoir ? Je vais essayer d'avancer cet aprem. Bravo Maderose !

La date butoir c'est ce soir 23:59 !

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