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Auteur | Message |
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Lexia
Age : 37 Localisation : Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin. Humeur : Etonnamment bien
| Sujet: Re: FIASCO Lun 12 Oct - 11:16 | |
| J'avoue que c'était pour laisser plus de possibilités au j3, le temps que tout se mette en place et que chacun puisse inclure son perso comme il le souhaite ^^ |
| | | EmeraldSnow
Age : 27 Localisation : Lost in translation ;) Emploi/loisirs : Imagination & Création, Violon, Water-polo ! Humeur : Brumeuse
| Sujet: Re: FIASCO Lun 12 Oct - 12:16 | |
| Mes conseils ne sont pas à prendre comme des reproches et je m'excuse si tu les as pris dans ce sens. J'essaie juste de vous aiguiller pour que la partie soit la mieux possible pour vous, en utilisant le livre des règles & conseils et mon expérience Parfois, comme c'était le cas ici, ce sont des conseils qui me viennent en lisant vos textes, pour les joueurs suivants Et encore une fois, vous êtes entièrement libres de gérer comme vous voulez (c'est pour ça que c'est fun !) De plus, tu as parfaitement raison : ta fin ouverte laisse le temps aux autres joueurs de prendre en main leur perso ce qui est positif vu qu'on a un peu galéré |
| | | Lexia
Age : 37 Localisation : Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin. Humeur : Etonnamment bien
| Sujet: Re: FIASCO Lun 12 Oct - 14:57 | |
| Ne t'inquiète pas, je me les ai pas pris comme un reproche, je comprends très bien que tout le mal que tu te donnes c'est pour que l'on profite au mieux du jeu. Et sache que tes conseils sont toujours les bienvenus |
| | | EmeraldSnow
Age : 27 Localisation : Lost in translation ;) Emploi/loisirs : Imagination & Création, Violon, Water-polo ! Humeur : Brumeuse
| Sujet: Re: FIASCO Lun 12 Oct - 16:52 | |
| Ouf ! Je peux continuer de vous torturer alors Et j'ai hâte de lire qui est la personne pendue et d'où vient le bruit étrange ! |
| | | Because Banana
Localisation : Wordpress Humeur : inspirée
| Sujet: Re: FIASCO Mar 13 Oct - 13:34 | |
| Pareil, je me lance un peu en freestyle :') Je me suis d'ailleurs un peu laissée emporter ahaha ! Bonne lecture : - Scène 3:
Jason n’eut pas le temps de paniquer qu’un cri strident résonne peu après dans la nuit noire. La voix semble masculine, malgré la terreur qui déforme sa nature première : se rapprochant davantage d’un égosillement viscéral qu’autre chose. Il se précipite sans réfléchir vers la source de ce vacarme, s’éclairant sur le chemin à l’aide de son téléphone portable. Il manque de tomber plusieurs fois dans le terrain boueux. Ses pas l’amènent à la cabine de Gontrand, le motard qui l’avait pris en auto-stop. Il le découvre par terre, tétanisé devant une vision morbide. Un cadavre se balance au gré du vent. Gardant son sang-froid, il remarque que la corde n’est pas la seule chose autour du cou du pauvre bougre. Une pancarte y est également accrochée, sur laquelle un mot peint en rouge lui glace le sang : PARTEZ.
Il est temps d’appeler son frère.
Scène 3
Réveillé par le vibreur de son téléphone Michael grommelle : il sent qu’il n’a pas encore eu son quota de sommeil. L’écran lui révèle le nom de son frère : Jason. Excédé, il appuie brutalement sur le bouton rouge, raccrochant l’appel. Ce n’est pas maintenant qu’il a envie de lui parler, encore moins après son arrivée impromptue cette après-midi. Ça l’aurait tué de l’appeler pour le prévenir ?! Michael aurait pu tout tenter pour le dissuader de venir ! Aucun lien depuis des années et il débarque dans sa nouvelle vie, ramenant avec lui la honte de son passé familial qu’il avait tant cherché à fuir. Alors que les tensions avec Madeline s’accumulent, la venue de cette bombe à retardement ne l’arrange pas du tout. Il a remarqué que son frère semble être dans le pétrin. Il se fourre le doigt dans l’œil s’il pense obtenir une assistance de sa part. Ou ne serait-ce que lui demander, alors que lui même est fauché. Madeline ne doit se douter de rien.
Un nouvel appel résonne et réveille cette dernière. Michael n’a plus le choix, il décroche. Jason se met à lui débiter des propos incohérents, lui demandant de venir immédiatement à la cabine de Gontrand. Il semble sincère dans son alerte, ça n’a pas l’air d’un coup fourré. Michael s’exécute, se levant péniblement de son lit pour aller chercher son manteau et ses chaussures. Hébétée, Madeline semble vivre son réveil encore plus mal que lui, comme si elle venait d’être brutalement tirée d’un sommeil profond à peine trouvé. Ses traits sont très tirés. Il chasse cette pensée de sa tête, ça n’a pas de sens. Elle doit être crevée, il lui murmure de se rendormir. Pourtant, en ouvrant la porte avec son trousseau de clés il constate avec effroi que celle-ci est déjà déverrouillée. Michael la ferme toujours à double tour. Toujours. Quelque chose cloche. Mais il n’a pas le temps de réfléchir qu’il continue son chemin, se promettant d’y repenser ultérieurement.
La cabine de Gontrand est loin, ainsi il se dirige vers le 4x4 garé en bas pour y aller rapidement. Se hissant dans le véhicule glacé par la nuit froide, il tente de le démarrer.
Ça compte comme un succès de trouver la source du bruit ? je ne savais pas comment finir la scène 2, désolée :’) |
| | | EmeraldSnow
Age : 27 Localisation : Lost in translation ;) Emploi/loisirs : Imagination & Création, Violon, Water-polo ! Humeur : Brumeuse
| Sujet: Re: FIASCO Mar 13 Oct - 14:24 | |
| C'est un peu difficile à dire Pour cette fois, on va dire oui (j'enlève un succès du décompte) C'est pour ça que je vous conseille de terminer vraiment sur un choix ou une situation où l'échec/le succès sont assez évidents (même si on peut échouer de miles façons ) Pour l'instant vos fins sont biens mais elles pourraient terminer avec un enjeux plus fort, pour augmenter la tension de l'histoire (elle devra être maxi avant l'embrouille mais le plus tôt elle l'est, le mieux c'est). En prenant un cas extrême : votre perso cherche à échapper à un tueur en série, il sort en courant d'un bâtiment, il y a des racines, il fait sombre. Ça peut être à son avantage (succès : il se cache, l’obscurité l'aide et son adversaire trébuche) ou contre lui (échec : il trébuche car il n'a rien vu et son poursuivant le rattrape) ou même carrément mortel ("un mort" : il trébuche et se fait massacrer/il trébuche et tombe nez à nez avec un cadavre). Sans parler d'un cas aussi extrême, il faut qu'un échec se fasse sentir : il ne démarre pas la voiture --> quelles sont les conséquences (mauvaises) pour ce perso. Idem, il démarre et arrive sur la scène : en quoi est-ce positif ? Aperçoit-il qqn ? Encore une fois, ce n'est que des conseils Mais sachez que si l'on ne rattrape pas le retard de ce week-end, il faudra enlever des scènes et donc il faut que l'histoire parte en cacahouète le plus tôt possible |
| | | EmeraldSnow
Age : 27 Localisation : Lost in translation ;) Emploi/loisirs : Imagination & Création, Violon, Water-polo ! Humeur : Brumeuse
| Sujet: Re: FIASCO Mar 13 Oct - 14:28 | |
| Pour le décompte, vous avez utilisé 1 fin "trouve un MORT" et 1 fin "SUCCÈS". Il vous reste : - 3 fins "trouve un MORT" ; - 5 fins "SUCCÈS" ; - 6 fins "ÉCHEC". Amusez-vous bien ! |
| | | Because Banana
Localisation : Wordpress Humeur : inspirée
| Sujet: Re: FIASCO Mar 13 Oct - 14:34 | |
| Ok, ça marche Emerald je comprends mieux ! Une fin à choix avec des enjeux effrayants plus évidents J'essayerai de faire mieux à la prochaine ! Ou souhaites-tu que je reprenne ma scène rapidement ? On est en retard de beaucoup ? Un/ deux jours ? |
| | | EricaGalyon
Age : 32 Localisation : Moselle Emploi/loisirs : éternelle insatisfaite Humeur : Un peu plus que cela, même...
| Sujet: Re: FIASCO Mar 13 Oct - 14:47 | |
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| | | Because Banana
Localisation : Wordpress Humeur : inspirée
| Sujet: Re: FIASCO Mar 13 Oct - 14:54 | |
| Ok ahahhaa ! Je sens que tu as des idées de meurtres assez précises Erica, ça promet ;p Hâte de lire ta partie ! |
| | | EmeraldSnow
Age : 27 Localisation : Lost in translation ;) Emploi/loisirs : Imagination & Création, Violon, Water-polo ! Humeur : Brumeuse
| Sujet: Re: FIASCO Mar 13 Oct - 16:38 | |
| J'ai lu vos messages avec un peu de retard, désolée Erica ta réponse à BecauseBanana m'a beaucoup faite rire Si tu fais subir la même chose à ton perso, ça va être bien amusant ! Pour te répondre Because Banana : Vous avez pas mal rattrapé le retard. Si effectivement, Erica écrit sa partie aujourd'hui, vous serez dans les temps ! (MrThomas peut toujours choisir la fin en même temps qu'il écrira sa scène). Bien joué d'ailleurs ! Vous partiez avec 2 jours de retard Ça veut aussi dire qu'il va me falloir trouver un système plus efficace pour l'Embrouille Désolée de vous avoir tant embrouillés (hihihi jeu de mots pourri !) La bonne nouvelle pour vous : normalement pas de raccourcissement du jeu ! |
| | | EricaGalyon
Age : 32 Localisation : Moselle Emploi/loisirs : éternelle insatisfaite Humeur : Un peu plus que cela, même...
| Sujet: Re: FIASCO Mar 13 Oct - 19:07 | |
| Je suis désolée, j'ai vraiment fait très très long, je me suis laissée emporter... Pardon pardon, je ferai plus court la prochaine fois - Texte d'Erica #1:
Fin de la scène 3
- Saleté de vieux tas de ferraille, tu vas démarrer oui ! Michael tourne sa clé, encore et encore, en vain. De sa paume, il frappe le volant détrempé, sort du véhicule, rabat sa capuche et soulève le capot. Il fait si sombre… Il ne voit même pas devant lui. À peine a-t-il énoncé cette pensée qu’un nuage filandreux s’écarte pour laisser paraître un bout de lune, comme une jambe sort discrètement d’une jupe fendue. - Qu’est-ce que… Et pour cause. Là, béant comme la bouche ouverte de Michael, un trou aussi haut que large manque de l’étouffer. - Où est la batterie ? Quelqu’un a volé ma batterie… Alors qu’il est sur le point de faire exploser sa rage sur la tôle vert bouteille, un violent froissement de feuille l’oblige à se retourner. Il scrute l’obscurité avec un œil inquiet, mais alerte. Rien. Michael ricane de sa propre frayeur en levant haut le menton. Il sait que personne ne l’observe, malgré tout, il tente de sauver les apparences. L’habitude sans doute. Et dire qu’il se tape toutes ces merdes pour son boulet de frère… Jamais on ne pourra dire de lui qu’il n’est pas serviable. Il lui en doit une, ça c’est sûr ! Michael souffle d’impatience et repart malgré tout vers le sentier qui mène à la cabane de Gontrand. S’il n’avait pas été si fier, il aurait peut-être regardé par-dessus son épaule et il l’aurait vu, cet objet lourd qui s’abat tout à coup sur son crâne. Michael s’écroule dans la boue, un mince filet de sang dans la nuque.
Début de la scène 4
Une pâle lueur filtrait à peine à travers les lattes de bois miteuses lorsque Madeline ouvrit un œil. Elle se releva au ralenti pour ne pas réveiller l’homme qui dormait à côté d’elle, du moins le supposait-elle. Elle avait pris cette habitude tant pour éviter que Michael ne la voie partir lorsqu’elle se faufilait hors de son lit que pour ne pas s’attarder chez des conquêtes qu’elle ne comptait pas revoir. Vu les folies de la veille, elle avait plutôt intérêt à vérifier. À en juger par le décor, elle était bien dans sa propre cabane, mais son fiancé n’était pas là. Son premier réflexe fut d’expirer d’aise et de relâcher les épaules, mais bien vite, ses sourcils se froncèrent. C’était bien la première fois qu’il découchait et bien qu’elle serait plus qu’heureuse qu’il s’adonne enfin au sport de chambre, elle ne tolérerait pas qu’il le pratique sans elle. Elle se leva en vitesse, passa la tête dans chaque pièce (ce fut rapide, il n’y en avait que deux) et commença à s’inquiéter pour de bon. Elle enfila rapidement un peignoir et ouvrit la porte sur un jour pas tout à fait levé.
Ce n’est que 10 minutes plus tard qu’elle franchit le seuil de la salle commune où s’alignaient tels des zombies le fameux Gontrand (enfin, elle se souvenait de son prénom !), le visage livide, le directeur du camp et quelques moniteurs dont elle n’avait pas encore retenu les noms. Mais de Michael, aucun signe. Un autre homme, qui avait dû boire plus que de raison, était affalé sur une des tables et Madeline crut d’abord qu’il s’agissait de son fiancé, mais il n’avait pas tout à fait la même carrure. - Qu’est-ce qu’il se passe ? Est-ce que quelqu’un a vu Michael ? Gontrand dirigea négligemment son pouce derrière lui, pointant la porte d’une infirmerie minuscule où Madeline se précipitait déjà. - Michael ! Qu’est-ce qui lui est arrivé ?! - On l’a trouvé inconscient dans les bois devant chez vous, cette nuit, il y a à peine quelques heures, répondit un gros bonhomme rougeaud. Il va bien, il est juste un peu sonné. Madeline était sur le point de le remercier lorsque son regard accrocha sa bouche d’où pendait une superbe pipe d’époque en véritable bois de bruyère. - Où vous avez eu ça ? Son ton avait changé du tout au tout. - Euh… - Cette pipe est à moi, espèce de voleur ! (elle leva la main pour la lui reprendre lorsqu’elle repensa à un détail embarrassant). Vous êtes entré chez moi, qu’est-ce que vous avez pris d’autre ?! - Rien, rien d’autre… - Je ne supporte pas qu’on touche à mes affaires ! Elle avisa une seringue sur un plateau roulant, la brandit en l’air et c’est alors que…
--> Scène 3 : échec
Dernière édition par EricaGalyon le Mar 13 Oct - 19:34, édité 4 fois |
| | | EricaGalyon
Age : 32 Localisation : Moselle Emploi/loisirs : éternelle insatisfaite Humeur : Un peu plus que cela, même...
| Sujet: Re: FIASCO Mar 13 Oct - 19:18 | |
| Désolée pour le double post :
Par contre, comme on garde toujours le même ordre, on jouera toujours les mêmes persos ? Ex : je finirai toujours la scène du personnage de BB avant d'écrire le passage de mon personnage. |
| | | EmeraldSnow
Age : 27 Localisation : Lost in translation ;) Emploi/loisirs : Imagination & Création, Violon, Water-polo ! Humeur : Brumeuse
| Sujet: Re: FIASCO Mar 13 Oct - 21:34 | |
| Alors, aucun soucis pour la taille du texte au contraire ! Il n'y a pas de limite max D'ailleurs cets pour ça que vous avez plus longtemps pour jouer que pour le Cadavre Exquis Et j'adore vraiment ton texte j'ai cru que tu avais tuer Michael puis après, le coup de la pipe qui passe avant le fiancé Sinon oui, vous jouerez toujours dans le même ordre, pourquoi ? |
| | | EricaGalyon
Age : 32 Localisation : Moselle Emploi/loisirs : éternelle insatisfaite Humeur : Un peu plus que cela, même...
| Sujet: Re: FIASCO Mer 14 Oct - 7:44 | |
| ah tant mieux je suis rassurée c'était juste pour savoir si j'aurais l'occasion de finir les histoires des autres persos car une idée m'avait traversé l'esprit, mais pas de problème ^^ je préférais être sûre d'avoir bien compris |
| | | MrThomas
Age : 25 Localisation : Normandie Emploi/loisirs : Etudes de Lettres Modernes & Correcteur
| Sujet: Re: FIASCO Mer 14 Oct - 16:14 | |
| Et voilà donc mon texte ! - Mr Thomas 2:
Fin scène 4
C’est alors qu’un violent orage vint s’abattre sur l’un des arbres à côté de la salle commune. Madeline, surprise, laisse tomber la seringue à ses pieds. Sous la violence de l’impact, ils peuvent voir à travers la fenêtre l’arbre brûlé qui se laisse doucement tomber jusqu’à rencontrer le sol dans un violent boom. Toute la salle tremble pendant quelques secondes, l’un des tableaux tombe. Tout le monde se regarde sans vraiment comprendre. Personne ne sait quoi faire. Par chance, l’arbre à éviter cette étrange assemblée. Elle prend quelques instants pour reprendre son souffle et tenter de calmer son cœur qui ne fait qu’accélérer. La porte de l’infirmerie s’ouvre. Tout le monde se retourne dans cette direction. Michael en sort, titubant. Il n’a pas l’air d’aller bien, que fait-il debout ? Madeline se jette presque sur lui pour aller le recoucher, mais il ne semble pas réagir. Il tient à continuer son chemin et plus elle essaie de le retenir plus il devient violent. Il lui faut l’aide de Gontrand et Jason pour réussir à le recoucher. Il hurle à s’en briser les cordes vocales, tellement qu’ils finissent par l’attacher afin qu’il ne se blesse pas. Quand elle retourne dans la salle afin de récupérer la seringue qu’elle a laissée tomber, elle remarque qu’elle a disparu.
SCENE 5
- Qu’est-ce qu’il lui arrive ? demande Gontrand une fois qu’ils sont retournés dans la salle. Personne ne répond. Ils ne doivent pas réellement savoir quoi faire. Il les regarde un à un dans l’attente mais rien ne vient. - Cet endroit est chelou, ajoute-t-il. Il se passe quoi ? Le directeur du camp s’avance un peu. — Je ne sais pas trop ce qu’il s’est passé, mais je suis certain que ce n’est rien. — Le gardien des rives est mort. — Il sort d’une dépression. Peut-être… que ça n’allait pas. — Et le panneau ? — Il faisait souvent cette blague, de mettre des panneaux partout pour faire peur aux résidents. Peut-être est-ce ainsi qu’il voulait terminer. Gontrand ne répond rien devant la stupidité de cette réponse. Il voit Madeleine furieuse, qui semble chercher quelque chose mais il ne s’en soucie guère : ce camp lui fout la trouille, et il a envie de dormir. Il s’apprête à partir, quand elle l’arrête : - Où vas-tu ? demande-t-elle, une main sur son épaule. - Dormir. Elle s’assure que personne ne les entend avant de chuchoter : - Cet endroit est chelou. Le crâne, le gardien, Michael… Il faut faire quelque chose ! Il pouffe. - Désolé Madeleine… — Madeline, coupe-t-elle. — Déso Madeline, mais je vais dormir avant de prendre la route pour chez moi. Je ne compte pas rester ici, et tu ne devrais pas non plus. — Michael est là ! Je ne peux pas te laisser. - Ca ne t’a pourtant pas dérangé cette nuit. Il n’a pas le temps de voir la claque arriver. Même quand sa main n’est plus là, il sent encore la trace sur son visage. Il ne dit rien, ouvre la porte et part furieux. Il marche une dizaine de minutes, seul, dans le noir. Si pendant un moment la colère l’empêchait de ressentir cette étrange pression autour de lui, maintenant qu’il s’est calmé, la peur commence à la gagner. N’a-t-il pas mis que cinq minutes pour y aller tout à l’heure ? Il tourne sur lui-même, à l’affut du moindre indice qui pourrait le guider… mais il n’y a rien d’autre que des arbres autour de lui. Des arbres et ce bruit qu’il a entendu tout à l’heure ! Un craquement, comme des pas qui s’approchent mais qui semblent venir de partout en même temps ; devant, derrière et même au-dessus de lui ! Sans trop savoir où aller, il se met à courir jusqu’à ce que…
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| | | EmeraldSnow
Age : 27 Localisation : Lost in translation ;) Emploi/loisirs : Imagination & Création, Violon, Water-polo ! Humeur : Brumeuse
| Sujet: Re: FIASCO Mer 14 Oct - 21:41 | |
| Nickel ton histoire est super prenante ! Peux-tu juste me dire si la fin de la scène d'Erica est un succès ou un échec stp ? Je t'avoue que je n'ai pas trop su Je dirai échec non ? Elle ne peut pas lui planter la seringue ? |
| | | MrThomas
Age : 25 Localisation : Normandie Emploi/loisirs : Etudes de Lettres Modernes & Correcteur
| Sujet: Re: FIASCO Jeu 15 Oct - 6:28 | |
| Oui ! Je l'ai considéré comme un échec ^^ |
| | | Lexia
Age : 37 Localisation : Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin. Humeur : Etonnamment bien
| | | | EmeraldSnow
Age : 27 Localisation : Lost in translation ;) Emploi/loisirs : Imagination & Création, Violon, Water-polo ! Humeur : Brumeuse
| Sujet: Re: FIASCO Jeu 15 Oct - 9:33 | |
| Écoutes, je n'ai pas vu de problèmes et en arrivant à la fin j'ai été très, très, mais alors trèèèèèèès frustrée de ne pas savoir de qui ils doivent se méfier ! Pour le décompte des fins, il reste : - 2 fins "trouve un MORT"; - 5 fins "SUCCES" - 4 fins "ECHEC" N'hésitez pas à utiliser aussi les succès (surtout au début) sinon vos persos vont tout réussir à la fin ou alors tournez vos fins de texte de manière à ce que le succès soit du type "réussi à s'échapper", "esquive le couteau", "parvient à faire le mort" Autre petit conseil : si vous avez le temps, n'hésitez pas à rallonger un peu vos scènes pour que vos personnages vivent plus de trucs Car nous arrivons déjà à l'embrouille (et contrairement au Cadavre Exquis, vous avez une journée pour répondre, rien ne presse) Ah, petite précision supplémentaire, il reste deux joueuses avant d'arriver à l'Embrouille. Donc je vous explique (rapidement) en quoi cela consiste L'Embrouille, c'est comme au début : vous aurez le choix (plus restreint) entre plusieurs situations à AJOUTER au scénario actuel. Comme son nom l'indique... ces situations vont fortement compliquer la vie à vos persos, ajouter du...macabre et peut-être des morts ou des raisons encore PIRE de paniquer Mais vous en saurez bientôt PLUS Amusez-vous bien ! |
| | | Because Banana
Localisation : Wordpress Humeur : inspirée
| Sujet: Re: FIASCO Ven 16 Oct - 10:17 | |
| Hâte de voir les choix d'embrouille et comment ils vont mettre encore plus de bazar ! Voici du coup la suite ! - Scène 7:
... la cabale. ». Jason bute sur ce mot sinistre.
Mon Dieu. Ce cauchemar n’en finit pas.
Madeline quant à elle comprit immédiatement que l’auteur de cet avertissement doit être rattrapé : soit parce qu’il s’agit d’un allié inespéré dans toute cette folie, soit l’un des criminels fous tentant de les effrayer davantage. Il doit être encore dans les parages. Levant la tête vers la salle principale bondée, elle essaye d’identifier les individus au comportant plus étrange. Jason se dresse à son tour à ses côtés, renversant au passage sa boisson brûlante sur sa jambe. Il ne peut retenir un cri, ce qui ne manque pas d’alerter tous les moniteurs autour de lui qui se retournent d’un bloc. Sauf un, qui continue sa marche d’un pas déterminé vers la sortie. Jackpot.
Désolée de devoir le trainer ainsi malgré sa blessure, Madeline empoigne Jason pour se lancer à sa poursuite. Il peut encore marcher, sa brulure a l’air superficielle et il n’est pas question qu’elle y aille seule après ce qui est arrivé à son fiancé. Ils se précipitèrent vers l’extérieur, rattrapant rapidement l’individu suspect qui n’a fait que quelques pas dehors, en train de bifurquer sur la gauche. Il contourne le bâtiment pour se diriger vers le parking de l’accueil. Jason, surement fou de rage et dopé par l’adrénaline coulant à flot dans ses veines finit par l’intercepter en quelques foulées sportives. Il saisit le malheureux par le col de sa chemise et le projette sur le mur. Ainsi coincé, l’homme a l’air terrifié. Pas menaçant. Madeline se réjouit, persuadée que ce corbeau providentiel détient certaines réponses dans ce chaos total.
« Maintenant, tu vas tout nous dire », commence-t-elle pleine d’assurance, « et surtout nous expliquer cette histoire délirante de cabale. »
Scène 7
Michael se réveille, une atroce douleur lui vrillant la tête. Il ne se souvient plus de rien. Alors qu’il tente de porter sa main vers la source de ses maux, il se sent retenu dans son mouvement. Par une corde. Il pousse un faible cri en comprenant qu’il ne peut pas bouger : il est ligoté. Désespéré il tourne la tête autour de lui – malgré la vague de souffrance – pour comprendre qu’il est attaché dans ce qui lui semble être un minuscule local d’infirmerie. Seul.
Il essaie de se débattre maladroitement pour se libérer. Réveillé par le mouvement, son bras gauche l’élance fortement. Avec effroi Michael s’arrête et constate des traces dans le creux de son avant-bras, là où ses veines se rejoignent. Il s’agit de piqures, comme celles d’une seringue … On m’aurait pris du sang ?, devine-t-il en proie à la panique. Une plainte déchirante s’échappe de ses lèvres. Un moniteur rentre dans la pièce, alerté par son vacarme. Enfin, son sauveur est là ! Hébété en le trouvant ainsi, ce dernier vient le défaire de ses liens en s’excusant de ne pas être venu avant.
« Mais qui t’a mis dans cet état Michael ? »
Il essaie de se souvenir, péniblement. Quelques bribes remontent à la surface de son esprit embrumé. Il prononce les mots qu'il arrive à visualiser. Une voiture. Le noir complet. Un docteur. Gros. Rougeaud.
« Un docteur ? Y’a pas de médecin ici, tu te souviens ? Y’a juste Patrick avec un diplôme de secouriste. C’est lui qui t’a soigné mais vu sa forme physique olympique c’est surement pas lui que tu décris. »
« Qu’est-ce qui m’est arrivé ? »
« T’es un champion, mec. Le dirlo t’a trouvé près de ta caisse complètement assommé. Je ne sais pas comment tu t’y es pris, mais il nous a expliqué que tu t’étais pris un coin de ton 4x4 tellement fort en montant dedans que tu t’étais foutu en l’air tout seul. Fais gaffe la prochaine fois. »
Son collègue moniteur finit par le libérer complètement. Hébété, Michael se relève doucement, regagnant son équilibre malgré son état encore fragile. Une pensée le traverse : Madeline. Elle sait peut-être ce qu’il lui est arrivé. L’histoire du directeur n’a pas de sens.
Avec peine, il traverse la salle commune. Elle n’était pas là. Alors qu’il a besoin d’elle après sa blessure. Une question le taraude : Pourquoi n’est-elle pas à mon chevet ? Michael demande autour de lui si quelqu’un a vu sa fiancée. La réponse qu’il entend le fait bouillonner. On lui explique qu’elle vient de partir précipitamment avec mon jumeau, bras dessus, bras dessous. Son sang restant ne fait qu’un tour. Rien ne fait sens depuis son réveil. Mais certains principes passent avant tout. Galvanisé par une énergie nouvelle, Michael se précipite dehors pour les retrouver. Il doit leur montrer que ça ne se passerait pas comme ça …
Succès pour la scène 6 ! Et Michael reste Michael, rien à faire des trucs super creepy il pète quand même son câble pour un rien ahahaha ! Tu nous encourages à faire long, je me suis lâchée ;p Hâte de lire la suite :3 |
| | | EmeraldSnow
Age : 27 Localisation : Lost in translation ;) Emploi/loisirs : Imagination & Création, Violon, Water-polo ! Humeur : Brumeuse
| Sujet: Re: FIASCO Ven 16 Oct - 10:52 | |
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| | | Lexia
Age : 37 Localisation : Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin. Humeur : Etonnamment bien
| Sujet: Re: FIASCO Dim 18 Oct - 7:58 | |
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| | | EricaGalyon
Age : 32 Localisation : Moselle Emploi/loisirs : éternelle insatisfaite Humeur : Un peu plus que cela, même...
| Sujet: Re: FIASCO Dim 18 Oct - 21:55 | |
| Hello ! Alors, vraiment désolée, mais j'avais posté mon histoire hier aprem, et visiblement, ça n'est pas passé. Je ne sais pas pour vous, mais moi j'ai plein de soucis avec le forum ces derniers temps, les pages crash tout le temps. Bref... désolée ça va mettre tout le monde en retard, mais voilà mon texte : - Fin de la scène 7:
« Ça va pas se passer comme ça. Ça va pas se passer comme ça… Ça va pas se passer comme ça ! » Furibond, Michael claudique jusqu’à l’extérieur, en se tenant le bras. La tête lui tourne, il est encore trop faiblard… Il continue d’avancer, il court presque, tournant la tête à droite, à gauche. « Je vous trouverai, sortez de vos buissons ! ». Ça y est, il les aperçoit. Alors qu’il réfléchit seulement une seconde à ce qu’il allait leur dire, de folles images lui traversent l’esprit et le mettent hors de lui. Il s’élance à tout jambe et saute sur Jason. Pris par surprise, celui-ci s’effondre au sol et tous deux tourneboulent dans l’herbe humide. Michael assène un violent coup de poing dans le nez de son frère, mais celui-ci réplique par un coup de genou bien placé, reprenant le dessus quelques secondes. Alors que Jason resserrait ses mains sur la gorge de son jumeau, Michael, connaissant par cœur les faiblesses de son frère, lui écrase son poing dans la côte gauche. Le saisissant par la veste, il le claque au sol, achevant leur bagarre. Complètement amoché, Michael profite que Jason soit sonné pour tenter difficilement de se relever. Madeline, que les combats de coq et les démonstrations de testostérone agacent au plus haut point, croise les bras sur sa poitrine, essoufflée d’avoir couru. Car ce qu’il l’énerve par-dessus tout, c’est que leur seule piste vient de partir en courant ! Impatiente, elle finit par aider son fiancé à se relever. La tête qu’il a… Vu sous cet angle, il ressemble encore plus à son jumeau, à presque les confondre. - T’es content ? t’as eu ce que tu voulais ? - Oui, je suis très content ! Et toi, sinon ça va ? Pas trop déçue que je t’ai enlevée aux bras de ton amant ? - Mon amant ? ha… t’es qu’un crétin. T’as pas vu qu’on était en train d’interroger un gars louche ? T’as tout fait rater ! - Désolée si tu passes une mauvaise journée… Sinon, moi je me suis fait agresser, on m’a planté une aiguille dans le bras et je ne me souviens de rien. Mais ne t’en fais pas, je comprends très bien que tu étais trop occupée pour rester à mes côtés ! - Je suis restée, je te signale… Pendant des heures. Jusqu’à ce que… - Jusqu’à ce que quoi ? Mais Madeline n’écoute pas. Les yeux rivés vers la forêt, la bouche béante, elle semble figée. Michael suit son regard et manque de s’évanouir. Là-bas, sur le sentier, un homme ressemblant à Gontrand déambule tel un zombie, recouvert de sang des pieds à la tête.
--> Succès ? Il a réussi à foutre la pâtée à son frère après tout. - Début scène 8:
- Ça fait 1h que tu mets la cabane sens dessus sous, tu vas finir par m’expliquer ce que tu cherches ? - Ça ne te regarde pas. J’ai le droit d’avoir mes secrets moi-aussi, non ? - Des secrets… c’est ça… - Roooh, je ne trouve pas ! Depuis qu’elle avait aperçu Gontrand dans ce drôle d’état, Madeline avait comme un mauvais pressentiment. Elle commençait à en avoir sa claque de ce camp et des gens qui l’habitaient. Plus le temps passait et plus son taux de colère et d’épuisement grandissait. Ne pouvait-on donc se fier à personne ici ? Il se passait des choses horribles et elle commençait à penser que la menace ne venait pas de l’extérieur. Gontrand était plus que suspect aujourd’hui et non, ce sentiment n’avait rien à voir avec le fait qu’elle l’avait vu sans arrêt discuter avec Jason. C’était ridicule d’être jalouse. De toute façon elle avait Michael. Elle s’en fichait complètement ! Mais elle avait bien vu comment il l’avait regardée quand elle avait proposé de garder le crâne. Et comme par hasard, elle ne le retrouvait plus ! Il fallait qu’elle le récupère à tout prix. C’était une preuve ! Une preuve de quoi, elle n’en savait encore rien, mais elle comptait bien le découvrir. Si ça se trouve ce pervers prenait plaisir à tuer des gens et à collectionner leur crâne ! Si seulement, elle avait vu d’où il venait avec tout ce sang… Il lui fallait un coup de main. Mais hors de question de demander à Michael, ce n’était pas l’idéal. Elle voyait ça d’ici : « dis donc chéri, je trouve que mon sex friend est super louche, tu ne voudrais pas m’aider à enquêter sur lui ? ». Hum, non… Mauvais plan. Cela dit, une autre idée lui vint en tête. - Je sors m’aérer l’esprit. - Tu veux que je t’accompagne ? - Non ! J’ai… besoin d’être un peu seule, tu comprends ? - Oué… Madeline savait qu’elle n’avait pas réussi à convaincre son copain, mais elle n’avait besoin que d’un court instant. Enroulant son foulard préféré autour de son cou, elle trotta jusqu’à la cabane de Jason, préoccupée par l’orage qui se pointait. À peine ce dernier eut-il le temps d’ouvrir la porte, qu’elle commença : - J’ai un marché à te proposer. Une tasse de thé fumante entre les mains, Madeline observait Jason, inconfortablement assise sur une chaise miteuse. Il avait vraiment une sale tête avec sa bosse sur le front, un bleu sur l’œil droit et les lèvres enflées. Pour un peu, elle avait cru voir Michael lorsqu’elle l’avait découvert derrière la porte. - Alors, c’est quoi ton marché ? - Vous avez l’air proches, Gontrand et toi… - Proches ? Non, on a juste… - Je ne veux pas les détails. Seulement, tu vois… Il a quelque chose qui m’appartient. Tu n’as pas besoin de savoir ce que c’est, mais je veux le récupérer. C’est dans un grand pochon de tissu noir. - Et alors ? - Je me disais que… Des yeux languissants, des mots doux et du gin ça aide beaucoup à distraire les gens, tu ne crois pas ? - Quoi ?! Attends, c’est pas du tout ce genre-là entre lui et moi. - Et alors, t’es bon au bluff, non ? - Et pourquoi tu ne le lui demandes pas toi-même ? Madeline pencha la tête sur le côté et baisse les yeux. Elle n’avait aucune intention de lui répondre. Légèrement agacé, Jason posa sa main sur la poignée et Madeline comprit qu’il était temps de s’en aller. - Je ne veux pas m’incruster dans vos histoires. Ça ne m’intéresse pas. - Et 1000 balles ça t’intéresserait plus ? Jason s’arrêta immédiatement et referma la porte.
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| | | EmeraldSnow
Age : 27 Localisation : Lost in translation ;) Emploi/loisirs : Imagination & Création, Violon, Water-polo ! Humeur : Brumeuse
| Sujet: Re: FIASCO Lun 19 Oct - 9:03 | |
| Ehehe, oui c'est un succès pour Michael Ça commence à partir en cacahouète ! Je me demande ce qu'a trafiqué Gontrand Et l'argument des "1000 balles" Hâte de voir comment @MrThomas va conclure ! (P.S. : Cette fois, MrThomas tu dois seulement conclure la scène, tu écriras le début de la suivante après le choix de l'embrouille) Et maintenant ... L'Embrouille (Je mets tout d'un coup vu qu'on a un peu de retard ) Comment ça va se passer ?Exactement comme lors de la phase de préparation initiale MAIS avec seulement un choix par personne. Normalement, c'est déterminé au dés en fonction de votre nombre de succès et d'échec mais ce n'est pas très important On va donc simplifier Qui va choisir quoi ?
MrThomas et Lexia vont choisir deux catégories générales d'Embrouilles. BecauseBanana et EricaGalyon choisiront les détails liées à ces deux catégories. Bon et sans plus attendre... les Catégories Générales :1- Grabuge ( à comprendre en qqc de plus vient mettre le bazar : attaques, amours...) 2- Tragédie ( celle-ci est facile à comprendre ) 3- Innocence (à ne pas prendre au pied de la lettre, certaines sous-catégories implique simplement la souffrance d'un innocent ) 4- Culpabilité ( idem, la culpabilité c'est large, vous pouvez être coupable de tromper votre copain (@Madeline) ou alors d'avoir tuer qqn ) 5- Paranoïa (assez intuitif, je ne dévoile pas pour plus de suspense ) 6-Echec (parce que vous n'échouez pas assez ) Je dévoilerai les sous-catégories lorsque vou saurez choisi les catégories générales Amusez-vous bien ! Et n'oubliez pas : vos persos sont là pour ... SOUFFRIR ! |
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| Sujet: Re: FIASCO | |
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